En 2024, la qualité de l’air s’est encore améliorée sur le territoire de Le Mans Métropole avec des concentrations moyennes annuelles de dioxyde d’azote (NO2) conformes aux recommandations de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le Mans Métropole est ainsi en dessous des seuils qui imposent l’instauration d’une Zone à faible émission (ZFE) avec des mesures établies, en 2024, à une moyenne annuelle de 8.54µg/m3 (elles étaient établies à une moyenne de 9.96µg/m3 en 2023).
L’exonération de la mise en place d’une ZFE est possible lorsque les taux de dioxyde d’azote relevés sont inférieurs à 10µg/m3 d’air durant trois années parmi les cinq dernières.
Des résultats qui traduisent « les investissements importants mis en œuvre par Le Mans Métropole depuis plusieurs années », explique Stéphane Le Foll, président de Le Mans Métropole.
« Ces efforts importants engagés par la collectivité sur la politique des mobilités, avec la mise en place des Chronolignes, l’allongement des rames de tramway, la décarbonation du parc bus de la Setram notamment, expliquent cette tendance à la baisse des émissions de dioxyde d’azote dans l’air ces dernières années », précise le maire du Mans.
La Métropole a récemment lancé trois études en lien avec la maîtrise de la qualité de l’air dont le « Plan d’Action pour la Qualité de l’Air » (PAQA), une « Étude de circulation et de modélisation des déplacements », un diagnostic et un plan d’action qui aboutira à une « Charte de logistique urbaine durable », dans le cadre du programme CEE (Certificat d’Economie d’Energie) InTerLUD+.