Depuis la mi-septembre, ils sont trois à sillonner les secteurs impactés par les chantiers des Chronolignes. « Nous sommes là pour répondre à toutes les demandes et incompréhensions des commerçants et riverains », explique Rafik Boussoffara.
Stationnement, livraisons, terrasses, calendrier des interventions… Les questions ne manquent pas alors que les chantiers avancent. « Je reçois entre 5 et 10 demandes par jour. Lorsque les questions abordent des aspects techniques, nous les relayons vers la maîtrise d’œuvre », détaille Rafik.
Les médiateurs sont sur le terrain du lundi au vendredi de 9h à 17h. Le premier contact peut s’effectuer par mail.